Dans un village perdu au cœur d’une forêt dense, où les chemins n’étaient que des routes battus par les sabots des chevaux et les pas des campagnards, une féminité vivait en retrait, à l’orée des cible. Sa domicile, bâtie de pierre et de filet morne, exhalait incomparablement une odeur d’herbes https://chancevmxju.digiblogbox.com/58335898/la-nuit-des-poussière-et-de-la-voyance