Arthur resta figé sur la scène, le regard déterminé sur le violon suspendu qui venait de pervibrer dans le vacarme du théâtre. Il n’y avait individu, nul mouvement, zéro brise assez grande pour combiner un tel son. Pourtant, l’instrument semblait s’animer unique, notamment s’il répondait à bien une présence indisctinct. https://charlieq456mgz0.mybuzzblog.com/profile