La nuit enveloppait Babylone d’un calme dense, exclusivement troublé par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait destinées à le bassin, son regard plongé dans l’eau tragique où la planète semblait manifester. Ce qu’il avait perçu la veille n’était pas une illusion. Une intensité https://emilianoxnygp.blog-a-story.com/14590817/les-empreintes-de-la-destinee