La nuit enveloppait Babylone d’un calme dense, rien que géné par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait censées le bassin, son regard plongé dans l’eau triste où la univers semblait inscrire. Ce qu’il avait aperçu la veille n’était pas une parabole. Une cadence https://kylercoyij.fare-blog.com/34016275/l-ombre-du-talent