L’aube se levait sur Pékin, baignant l’atelier du calligraphe d’une vie pâle. Les obscurités de l'obscurité s’effaçaient peu à soupçon, mais sur le papier de riz, d’autres ombrages persistaient. Comme chaque matin, il se dirigea vers son bureau, le cœur serré par l’anticipation. Il savait que de futurs rythmique l’attendaient, https://spencervgolv.atualblog.com/40163431/le-cerveau-de-la-famille-d-ivoire