Dans les ruelles d’Istanbul, au cœur du bazar animé, un marchand du surnom d’Orhan découvrit un modèle singulier parmi ses inédites acquisitions. Il s’agissait d’un coffret en bois, mélancolique et finement ouvragé, décoré d'éléments indéchiffrables qui semblaient danser marqué par l'éclairage des lampes à huile. Aucun souvenir de l’avoir acheté, https://remingtonmbmtz.blogs100.com/34347240/l-éclipse-des-chroniques