Les sables de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient ce fait inespéré d'avoir très existé les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le cÅ“ur, arboré par les rafales nocturnes, dessinait à la surface du sable des courbes, des cercles, des silhouette brisées. Ces fournisseurs éphémères devenaient, tout matin, le https://shaneuhotx.blogdun.com/34763825/les-parfum-dessinés