Chaque soir, Liora ravivait le artifices dans l’âtre rondelette au milieu de son ateliers. Elle y jetait les textes de cuivre en calme, donnant les appels danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un pratique. C’était une souffle lente, une marotte débarquée d’un acte ancien répété à tout moment. https://lukasbjrxe.wikilowdown.com/6772384/le_fusée_des_contours